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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 10:11

Existe-il chose plus immatérielle que le temps ? Il passe, immuable, insensible aux événements naturels ou humains. Il nous semble parfois s'arrêter, parfois s'accélérer. Ce ne sont que des impressions, des ressentis. Les minutes des amants séparés leur paraissent durer des heures, celles ou ils sont réunis ne semble que que des secondes…Pourtant, insensible à tout cela, l'aiguille de la trotteuse égrène inlassablement le cours du temps qui passe, toujours le même.

Mais notre société moderne s'est emparé de tout et voilà que ce monde moderne, vous vend du temps. Pire même, on vous le loue. Regardez autour de vous : combien de publicités vous proposent des forfaits, des tranches de temps ? 2h, 4h, 10h... Pour votre téléphone portable, un forfait. Vous avez droit à tel quota de temps en semaine, à tel autre pour les week-ends et les jours fériés. Vos connexions Internet ? Un forfait là encore, 5h pour les plus économes ou pour les plus pauvres, 20h, 50h... Illimité pour les plus avides ou les plus riches, ceux qui veulent se payer du bon temps.
Votre temps ne vous appartient plus, vous l'achetez, vous le louez, vous le payez par tranches, par prélèvement direct sur votre compte bancaire. Tout est devenu argent

Plus de temps pour rien, tout se vend et le rêve disparaît

Pourquoi n'avons-nous plus de temps pour rien ? Parce que tout doit être instantané : le téléphone, partout, tout le temps, pour communiquer en permanence alors que jamais les gens n'ont été aussi seuls. Pouvoir être joint à tout instant, c'est se donner l'illusion d'être utile à quelqu'un, d'exister. Quelques mots à envoyer, une lettre ? Non ! Un fax, un mail, un SMS. Pas de réflexion, c'est immédiat, impulsif ; de toute façon, qui relit un SMS ?

A la télé, BFM TV ou L.C.I et consorts nous informent sans relâche, tout dans le monde en temps réel. La pub ? Tout change, il faut suivre et être à la pointe des choses, ne pas faire partie de ceux qui ont un temps de retard... Avec les voitures, les avions, on peut aller partout quasiment tout de suite, suivant nos envies. Un week-end de shopping à Londres ou à Budapest ? Possible, mais que voyez-vous du pays, que connaissez-vous de ses habitants en deux jours ? Les touristes américains "font" l'Europe en 7 jours ; un jour par capitale et ils "connaissent" l'Europe.

Souvent nous n'avons pas le temps, de voir notre famille, nos amis, de faire du sport, des travaux, des courses.. 

Enfants, nous n'avons pas eu forcément tous les jouets dont nous rêvions. Est-ce encore le cas ? Les enfants rêvent-ils encore d'autre chose que ce qui leur est prescrit à la TV ? Rêver, désirer, c'est avoir du temps pour. Le temps de l'attente, le temps de la patience. Aujourd'hui, tout est fait pour supprimer celui-ci : "on" le fait pour vous, à votre place ; le rêve, on vous le crée, vous, vous achetez et comme il ne faut pas que vous vous rendiez trop compte de ce qui se passe vraiment, on vous supprime le temps de la réflexion, du désir, du rêve, de l’envie.

Nous vivons dans un monde marchand, où il faut vendre et surtout croître. Pour croître, il faut vendre toujours plus, pour vendre plus il faut que les gens achètent plus et donc qu'ils se posent le moins de questions possible. Si vous n'avez pas le temps de vous poser des questions, vous achèterez plus, y compris du futile, du superflu.
Si l'on y réfléchit bien, un téléphone doit-il prendre des photos, faire des films, rappeler les anniversaires, montrer la route ?..Ou allons nous dans cette course sans fin et sans but ?

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 13:35

 Si vous pensez que votre vie va mal, prenez ceci en considération :

Si vous vous êtes levé ce matin en bonne santé, vous êtes plus chanceux que le million de personnes qui ne verront pas la semaine prochaine.

  • Si vous n'avez jamais été dans le danger d'une bataille, si vous n'avez jamais connu la solitude de l'emprisonnement, si vous n'avez jamais souffert l'agonie de la torture, si vous n'avez jamais été tenaillé par l'étau de la faim, vous êtes mieux loti que 500 millions de personnes.
  • Si vous pouvez aller à l'église ou dans un temple sans peur d'être menacé, torturé ou tué, vous avez plus de chance que 3 milliards de personnes.
  • Si vous n'allez visiter personne à l'hopital ou a l'hospice, vous avez plus de chance que 58% de la population mondiale.
  • Si vous avez de la nourriture dans votre réfrigérateur, des habits sur vous, un toit sur votre tête et un endroit pour dormir, vous êtes plus riche que 75% des habitants de la planète.
  • Si vous avez de l'argent à la banque, dans votre portefeuille ou même simplement de la monnaie dans une petite boite, vous faite partie des 8% les plus privilégiés du monde.
  • Si vos parents sont encore vivants et toujours mariés, vous êtes des personnes réellement rares.
  • Si vous avez l'électricité et l'eau courante , vous avez plus de chance que 62% de la population mondiale.
  • Enfin, si vous pouvez lire ce texte, vous avez la chance de ne pas faire partie des deux milliards de personnes qui ne savent pas lire...
  • Alors oui vous pouvez avoir des raisons de vous plaindre, mais méditer quand même là-desus.
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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 15:45

J’ai une discussion avec un ami qui cherche un emploi, il m’a rapporté l’entretien qu’il a eu...

Dernièrement lors d’une réunion de groupe de personnes cherchant un travail. J’y participe il y a des chômeurs et des professionnels. Et ce que j’ai entendu des DRH présents m’a profondément agacé.

" Alors, il faut enlever 30% du salaire que vous aviez avant. C’est la crise, il faut revoir ses prétentions à la baisse " . Je n’ai pas vu un moyen plus efficace de dévaloriser un métier et une personne. Ce n’est pas parce que tout est discount aujourd’hui, que nous le sommes aussi. Est-ce que nous revoyons à  la baisse nos compétences, nos objectifs, notre implication? Est ce que nous devrons produire 30% en moins de qualité et d’implication dans nos postes ?

Une personne qui refuse un poste parce que le salaire ne correspond pas à  son expérience, son profil, ses exigences est traitée d’inconsciente, de folle et la réponse automatique est " étant donné la situation du marché du travail, vous devriez vous contenter de ça " . Ah bon, donc quand le marché ira mieux, on me rajoutera 30% à  mon salaire? On me remerciera d’avoir été compréhensif et on me remboursera tout ce que j’ai gentiment cédé pendant la crise?

Alors ça, ce serait mal vu prétentieux, arrogant, imbécile ? Mais dans l’autre sens, personne ne s’indigne ! ! ? il faut en moyenne 15 à 20 ans pour parvenir à une situation qui nous convient et que l’on a gagnée, pas volée.

Parce que si c’est comme ça, moi je comprends. C’est comme notre gouvernement qui nous demande des efforts vu la situation ! ! ! Déjà pour certains la situation difficile date de toujours, ils galèrent depuis qu’ils sont en âge de travailler, et les efforts ne sont pas demandés, mais imposés ! Et là aussi une fois ‘’la crise terminée’’ notre état va faire baisser tout les prélèvements, le prix du carburant, nos impôts ? Nous récompenser dès que ça ira mieux ? (personne n'y crois).

Je ne suis pas devenu ( peu importe le poste, il n’y avait que des personnes expérimentées) à ce poste par hasard ou en me trompant de porte, et je ne suis pas en soldes. J’ai et une expérience que je défends avec de réelles compétences, alors pourquoi me payer comme quelqu'un que je ne suis pas ?

Le plus drôle ou ironique, c’est que le DRH qui vous trouve trop vieux à un Boss de 60 ans, et lui même à entre 45 et 55 ans…En toute logique ils devraient s’auto-licencier ou comme c’est la crise baisser leurs salaires de 30%, puisque c’est une nécessité impérative pour l’entreprise…

Ils voudraient bien un junior mais ils n’ont pas assez d’expérience, le placer sous tutelle, mobilise une autre personne, ralentit le travail, coûte cher, mais étant donné le marché, un senior peut postuler pour le même poste, mais il est trop cher ! Si vous le choisissez quand même, alors valorisez-le, appréciez-le, vous utilisez sa capacité à être rapidement autonome et efficace, cela à bien sur un prix, et nous sommes bien d’accord il y aune crise, baisser son salaire de 10% pourquoi pas, mais c’est un maximum.

Pas par esprit rebelle, mais parce que à 40, ou 50 ans, nous avons des engagements incompressibles. Et n’oubliez pas, nous avons tous été à la recherche d’un emploi au moins une fois dans la vie (pour le 1er), et ceux qui nous refusent aujourd’hui le seront sûrement un jour aussi, qu’ils y réfléchissent bien.

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 12:15

histoire vraie qui est arrivée en Irlande.

 

"Nous entrons dans un petit café avec un ami et lançons notre commande.
Alors que nous nous approchons de notre table deux personnes entrent à leur tour et demandent :
"Cinq cafés, s'il vous plaît. Deux pour nous et trois " en attente " "
Ils paient pour leur commande, prennent les deux cafés et partent. Je demande à mon ami:
"C'est quoi ces cafés " en attente " ??
"Attends et tu verras " me répond-il

D'autres personnes entrent.
Deux filles demandent chacune un café , payent et partent, sans les avoir obtenus.
Ensuite trois hommes d’affaires entrent, ils commandent 7 cafés - trois pour boire de suite et trois "en attente".

Alors que je me demande encore à quoi riment ces cafés " en attente ", ce qui me laisse perplexe...
Soudain, un homme vêtu d'habits râpés vient à la porte et demande :
"Avez-vous un café en attente? " Et aussitôt on lui sert un café .

C'est simple - les gens paient à l'avance pour prendre un café destiné à quelqu'un qui ne peut pas se permettre une boisson chaude. La tradition des cafés " en attente " (suspended coffee) a commencé à Naples, mais il s'est répandu partout dans le monde et dans certains endroits, vous pouvez commander non seulement un café, mais aussi un sandwich "

 

L’homme peut être un égoïste terrible, mais quand il montre ce qu’il a de meilleur alors là, il grandit, il est digne, il redevient simplement un homme.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 11:23
1-ne soyez pas pressé de parvenir à des conclusions, laissez bien terminer votre interlocuteur.
Prenez un temps de pause avant une décision ou une réponse.

2-Ce que vous entendez dépend naturellement de votre point de vue.
Vous devez pouvoir changer ce point de vue et pouvoir penser sous un nouvel angle.

3-Si vous voulez comprendre ce que dit l'autre, il faut supposer qu'il peut avoir raison et lui demander de vous aider à voir les choses et les événements de son propre point de vue.

4-Les émotions sont parfois un parasitage qui empêche de bien comprendre ce que l’on vous dit. Il faut pouvoir les gérer et les faire taire un petit moment, pour ne pas avoir une réponse inappropriée ou disproportionnée.

5-Un bon auditeur est un Explorateur de deux pensées et de 2 mondes possibles.
Il faut essayer de ne pas s’irriter parce que le discours et marginal ou en contradiction avec ses propres certitudes.

6-Un bon auditeur accueille et aborde les désaccords comme des occasions de pratiquer dans un domaine qui peut s’avérer passionnant , la gestion créative de conflits, et aussi l’évolution de sa propre pensée.

7-Vous saurez que vous êtes devenu un expert dans l'art de l'écoute, quand les désaccords vous ferons naturellement adopter une réponse construite autour d’une pensée humoristique.
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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 12:37

Ce qui est sur, c’est que ça va être une chose à éviter et à gérer difficile. Travailler avec des cons est une chose terrible. Faire travailler ses collaborateurs avec des cons est encore pire.

J’ai malheureusement fait cette expérience (comme nous tous) et le résultat est désastreux. La définition du " con " peut être très large mais le con est partout. Parfois en chacun de nous. Nous savons tous ce que ça veux dire, nous sommes tous le con de quelqu’un.

Aussi, la question que tout responsable se pose c’est ‘’ Faut-il abandonner du business à cause des cons ? ‘. Nous n’en avons plus le luxe.

C’est une question légitime. Mais lorsque l’activité est nécessaire pour faire vivre l’entreprise, il est normal de se préoccuper du chiffre d’affaires. C’est le sang de l’entreprise et sans lui, elle ne peut vivre.

Aussi la direction sera toujours inquiète de voir de l’activité partir à cause de la connerie de certains. Il n’aura pas forcément l’information sur ce qu’il s’est passé. Il peut avoir des idées un ressenti sur la réalité mais en finalité on ne choisi pas il faut travailler avec tous le monde. C’est plus simple à gérer et vital.

Lorsqu’un collaborateur se retrouve à traiter avec un con, il peut rapidement avoir l’impression d’être abandonné par son entreprise. Il peut avoir le sentiment que son entreprise va lui reprocher de n’avoir pas conclu la transaction (vente, prestation, etc). Il réagit sous la crainte, la pression, il n’a plus pour objectif de rendre service au client ou à son entreprise mais seulement de ne pas se mettre en porte à faux et de vite s’en débarrasser. Tous les réflexes de survie sont enclenchés et plus rien d’autre ne compte. Ce sentiment est terrible car il envoie un message ‘’Tu es là pour une mission et tes états d’âmes ne doivent pas entrer en compte’’. Le contraire serai accepter de perdre 30% de sa clientèle et de son C.A.

Et ce client, est t-il tout les jours un con ? Ou la situation, le problème rencontré, la manière dont on lui répond, un problème personnel tout autre, fait t’il qu’a ce moment là, dépassé, agacé, pressé, …Il réagisse en con, alors qu’il est habituellement agréable et courtois ?

Cela met tout le monde dans une situation très difficile. Si le collaborateur se sent dépassé, il donne la main à son supérieur, mais avoue aussi son incapacité à gérer le problème, si il ne gère pas ce problème mais ne passe pas la main, il est bien possible de perdre le client. Perdre un client n’est pas simplement perdre un client, c’est aussi avoir été mis à l’épreuve, avoir absorbé une tension négative, c’est aussi ce qui est impossible à quantifier et savoir à ce moment là, mais quelles seront les conséquences ? juste la perte du C.A que représente CE client ? Ou bien beaucoup plus, si ce client a une influence (commerciale, administrative, juridique) . La position de l’entreprise reste qu’il faut savoir faire avec, on ne refuse pas du C.A, et cela fait parti du métier, il y a les bons clients, et les autres…Et c’est ce tout qui fait vivre l’entreprise, malheureusement…

Il y va de tout le monde de se ressaisir et de faire un effort pour modifier un pue son comportement, on en a toujours eu la preuve, sourire, politesse, écoute, compréhension, donnent de bien meilleurs résultats, que de vouloir passer en force.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 10:04

En regardant avec un peu d’attention ce qui se passe dans notre époque, j’ai ce sentiment de ‘cobaye’…

Dans le bien parfois car il y a eu des évolutions notables, mais j’en parlerai moins puisqu’il semble normal d’évoluer vers mieux, mais aussi vers de nouvelles façons d’être, de consommer, de vivre, qui si elles ne sont pas toutes absolument mauvaises au départ ont changé notre vie en moins bien par des effets directs ou indirects.

Prenons la télévision ; En 1962 il n’y avait qu’une chaîne, en 1964 création de la 2eme chaîne, toujours en noir et blanc, puis en 1972 création de la 3eme chaîne et passage en couleur, part le manège enchanté, bonne nuit les petits, il n’y avait pas grand chose et nous préférions jouer dehors…Ensuite sont arrivés dans les années 74/75 des séries qui ont commencés à nous intéresser et à nous faire rester plus longtemps devant le poste. Aujourd’hui est disponible plusieurs dizaine de chaînes et nous adultes comme nos enfants restons bien plus a regarder la lucarne qui était si magique pour nos grands-parents et parents. La contre parie de cette abondance c’est la descente dangereuse du niveau de ce que l’on y présente, pas partout, mais quand même…Le loft, secret story, la ferme des célébrités, l’île de la tentation, les ch’tis en Grèce, Hollywood girls, les anges de la télé-réalité…Quelle pauvreté intellectuelle et exemples désolants que l’on montre à nos ados et plus jeunes enfants, alors que national géographique et payant…

Les voitures, les appareils électroménagers, duraient en moyenne 15 ans facile, avec nous on a expérimenté l’obsolescence programmée, des produits médiocres, qui sont certes à bas prix, mais que nous changeons 3 fois plus.

 

Pour la voiture, nous sommes la 1ere génération à avoir découvert très vite améliorations et contraintes, véhicules moins en panne, mais moins durable, prix du carburant à des niveaux absurdes, obligation de la ceinture, changement des plaques minéralogiques, abs, correcteur de trajectoires, allumage automatique des feux et essuie-glaces, gps, bluetooth, radars, permis à points et car-jacking…

 

Le restaurant, nous n’y allions quasi jamais, mais quand ça arrivait nous y retrouvions des plats du terroir faits avec de bons produits, aujourd’hui nous y allons bien plus, et nous pouvons manger n’importe quoi en n’importe quelle saison, merci aux conserves, surgelés, déshydratés, reconstitués et arômes de substitutions. Nous ne savons plus vraiment ce qu’il y a dans nos assiettes, ni au restaurant, ni à la maison. Merci aussi à tous les fast-foods qui contribuent à la prise de poids de toute une génération, mais ils ne sont pas seuls et en fait ne font que répondre à une demande. Merci au MDD qui nous font avaler le pire (colorants et arômes artificiels, huile de palme et sucre à gogo).

La médecine à bien progresser il serait injuste de dire l’inverse. Mais ou es le médecin de famille qui venait à la maison, qui connaissait la famille du plus petit au plus grand, qui était un peu le conseiller, le confident, l’ami ? Ou est le médecin de garde ? Celui que l’on pouvait appeler n’importe quel jour à n’importe quelle heure, car c’était le notable du village ou quartier ? Celui qui de lui-même prenait de nos nouvelles…Aujourd’hui en cas de problème, direct urgences, son médecin doit être déclaré, il est le passage obligatoire pour pouvoir consulter un autre médecin. Il n’y a plus de pédiatres, plus assez d’infirmières, les cliniques modestes de proximités ferment, régulièrement il n’y a plus de place on laisse les patients dans le couloir, on exige des médecins femme pour une population qui à librement choisie de venir vivre dans un pays laïque, on agresse ces mêmes médecins un peu partout, dans les cités, comme à l’hôpital, des règlements de comptes se font jusque dans les chambres, on enlève des bébés, il faut des agents de sécurités dans les lieux de soins. La sécu est chroniquement en déficit, elle connaît l’abus, l’escroqueries, les médicaments sont moins remboursés, est apparu les ‘génériques’, des médicaments frauduleux, sans effets, et même des médicaments tueurs. Nous sommes devenus une des nations qui consomme le plus de médicaments dont le plus d’antidépresseurs…La chirurgie esthétique s’est développée en 20 ans plus qu’en un siècle, et la majeure partie sert à faire des nez et des seins…Tous les ans 50.000 femmes se font implanter des prothèses rien qu’en France…Marché juteux ou l’appât du gain à aussi été le plus fort, avec des chirurgiens non qualifiés qui ont massacré des patientes, des industriels qui remplacent des produits autorisés par d’autres non appropriés comme dans les prothèses PIP.

 

 

L’environnement est une prise de conscience récente, on nous culpabilise, on nous fait payer, des taxes de recyclage, de CO², on nous dit de changer nos habitudes car l’ozone gagne, les glaces fondent, les océans sont pollués, les terres aussi, le ciel et l’espace y vont à grande vitesse, mais est ce nous qui n’avons pas réfléchis à tout cela avant ? Est-ce à nous simples citoyens de prévoir demain ? De prendre des mesures pour l’industrie ? A contrôler les usines type seveso, les risques des centrales nucléaires, la pollution des mers, le trou de la couche d’ozone, les véhicules polluants, l’épuisement des énergies fossiles ? Alors nous devrions déjà être responsables des batteries fabriquées en masse et qui nous encombrerons dans 10 ans tant on nous parle des voitures électriques qui seraient tellement la solution à nos problèmes d’énergie. Et tout les panneaux solaires qu’en fera t’ont quand ils seront morts ?

Alors pourqu

oi continuons-nous à transporter par milliers de containers maritimes et avions cargo des marchandises dont nous n’avons pas vraiment besoin ?

 

L’emploi. Dans les années 70 il était très facile de trouver un emploi correct, dans les années 80 on trouvait un emploi assez rapidement, dans les années 90, il fallait plus de temps et on devait prendre souvent quelque chose qui ne nous plaisait pas vraiment, depuis 2000, c’est très difficile, c’est très mal payé, et on prend ce que l’on trouve, quand on trouve. Quand j’ai débuté avec le SMIG on vivait, en couple avec 2 SMIG on vivait bien. Aujourd’hui avec le SMIG on survit et même avec 2… A 18 ans j’ai pu passer mon permis, acheter une voiture d’occasion et prendre un appartement. Aujourd’hui c’est quasiment impossible, et non seulement on part bien plus tard de chez les parents, mais parfois on y retourne. Avec un CAP on avait un job, avec le Bac l’avenir était souriant et tout tracé. Aujourd’hui avec licence, DEUG, maîtrise, bac +4 on peut être équipier dans un fast-food ou caissière. On peut aussi rester très longtemps sans emploi et quand on en trouve être payé au SMIG. Quand on fait 5 ans d’études après le bac on touche 40 fois moins qu’un footballeur ! Il est fini le temps ou l’on rentrait dans une entreprise par la petite porte et ou l’on pouvait y faire toute sa carrière et y progresser. Maintenant on plafonne vite et on doit s’attendre à la précarité donc à changer 5 fois de métier et entreprise dans sa vie (dans le meilleur des cas). Certains enchaînent intérim et CDD toute leur vie.

Avant on était embauchés par le patron de la boite, le diplôme était juste un des éléments, mais l’entretien en tête à tête des questions pertinentes, le ressentis étaient bien plus valable, l’accord se concluait par une poignée de main et ‘vous commencez lundi’’. Aujourd’hui, il faut passer par un cabinet de recrutement, on doit répondre à des questionnaires stupides, donner son signe zodiacal, subir une épreuve de graphologie, le tout par des gens qui ne connaissent même pas le job pour lequel on postule, le diplôme prévaut sur tout, on ne rencontre parfois jamais son patron, et la réponse est ‘’on vous préviendra dans les semaines à venir’’.

 

Avant dans les bals ou les boites parfois éclatait une bagarre, à cause d’un verre de trop ou d’une regard trop appuyé sur la petite copine, quelques coups de poings, et les copains nous séparaient, aujourd’hui on tue pour 5€, une cigarette refusée, un regard. Des bandes préméditent des bagarres meurtrières pour ‘’protéger leurs territoires ‘’ ou un match de foot. Police, Pompiers, médecins, sont agressés dans des zones de non droit. Dans les établissement scolaires, les professeurs sont agressés par élèves et parents, là on expérimente la démission des parents et leur irresponsabilités, en fait ils sont bien souvent si peu éduqués eux mêmes, qu’ils ne peuvent bien sur pas éduquer leurs enfants correctement avec des valeurs de société. La police de rue n’existe plus, je me souviens que gamin quand je faisais une bêtise, n’importe quel adulte me rabrouait, et parfois dans le village me ramenait aux parents et je prenait une bonne trempe, aujourd’hui les enfants ne respectent plus les adultes et les parents vous agresseraient si vous rameniez leur môme manu-military à la maison. Les professeurs n’ont même plus le droit de les punir en classe. Le redoublement est devenu quasi hors la loi, bons et mauvais tout les monde passe…

 

Je me souviens, qu’au tout début en cas de chômage, c’était 75% du dernier salaire et la durée était illimitée, aujourd’hui qu’il y a moins de chance de retrouver, et c’est en gros 18 mois et dégressif…Comme la retraite c’était 58% du brut, aujourd’hui c’est 50% du net, et encore on parle de la taxer .

Les châteaux de nos grands cru, sont devenus Chinois Russe, ou Indien, l’équipe de foot de Paris est Quatari, les autoroutes sud Australienne, etc…

 

Je pourrai continuer ainsi très longtemps (mais j’ai pitié de mes lecteurs) sur les bouleversements que nous devons subir, les expériences que font nos gouvernants ou industriels quitte à faire parfois marche arrière, mais que nous devons vivre, intégrer, finir par accepter, mais qui de toutes façons changent au grès des gouvernements…En ce moment c’est le mariage homosexuel, le gouvernement actuel souhaite l’instaurer, l’opposition promet que dés son retour au pouvoir elle l’abrogerait. A un moment c’était de rouler toujours en code, puis on a parlé de rediscuter des 35h…Mais il est sorti de grandes lois (mettre un gilet fluo en cas de panne, avoir un éthylotest dans sa voiture, et taxer les sodas). Nous allons encore continuer longtemps à servir de cobaye aux tendances du moment ? C’est quand même bien dommage, de ne pas réfléchir avant un peu mieux avec les personnes concernées, et de ne pas empiler à la hâte des lois, les unes aux autres. Cobayes et vaches à lait nous sommes et nous resterons.

On dit que le peuple à le pouvoir final, encore faudrait t’il qu’il s’en souvienne et se bouge.

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 13:59

Personne ne peut ignorer les difficultés économiques actuelles. J’écris ce message comme on lance une bouteille à la mer, malgré nos efforts nous n’arrivons plus à remonter le courant de cette crise destructrice, conjuguée aux arrivages massifs de produits Chinois, et à la main mise de la grande distribution, c’est juste la mort annoncée des petites structures.

 

Les politiques, les médias, la presse comme audio visuel parlent beaucoup des difficultés des grands groupes qui chaques fois qu’ils sont dans le rouge sont aidés, des PME qui peuvent par leurs notoriétés êtres présentes au tout premier plan (Lejaby, Continental, Arcelor, Peugeot, Renault, les banques, Air France, etc.)

  

Ces grandes entreprises qui ont des moyens énormes sont perpétuellement assistées en cas de problème. Quand elles vont bien on ne leur demande rien, elles délocalisent, engrangent des bénéfices…Quand elles vont mal on est à leurs chevets à injecter des millions, et monter des plans sociaux pour qu’il n’y ait aucun licenciement sec, il y a des aides au départ volontaire sous forme de très belles primes, ou des plans de sauvetage.

  

Le paradoxe et que tout le monde est d’accord pour dire que le vivier d’emplois se trouve plutôt dans les PME/TPE, mais personne n’en parle et personne ne se préoccupe vraiment de leurs difficultés à traverser cette crise.

  

Je comprends bien que 8000 suppressions de postes chez Peugeot, fasse un gros titre mais malheureusement si on cumule les faillites des PME et TPE, nous en sommes à bien plus de 8000 pertes d’emplois sans que personne ne s’en émeuve.

 

Il est vrai que 10 par-là, 8 à côté, et encore 12 ailleurs, ça ne peut pas faire de l’audimat ou des ventes de journaux. Alors cela signifie t’il que certains emplois sont plus importants à sauver que d’autres ? Que certains salariés parce qu’ils ne travaillent pas dans une entreprise de notoriété valent moins que les autres ? Un emploi, n’est plus un emploi ? Il y a celui à sauver et celui dont tout le monde se fout ?

Devrait-on en conclure qu’une catégorie de salariés est ignorée juste parce quelle ne travaille pas ‘’au bon endroit’’ ? Que cette catégorie n’a pas de charge ? Ne paye pas de loyer ? N’a pas d’enfants ? Peut tout perdre dans une totale indifférence ?

 

Des gens qui ont durement acquis le peu qu’ils ont et qui n’ont jamais eu le confort de travail des grandes entreprises. Ces personnes dégringolent l’escalier social, en silence, Comme une sous catégorie. Dans des structures modestes il n’y a jamais au moins le petit espoir d’un reclassement ailleurs dans le groupe ou chez les sous-traitants, la moindre petite chance de partir avec un chèque significatif qui amortirait un peu le choc et les urgences à venir.

Pouvons nous être résignés et accepter qu’il y ait des sous entreprises, avec des femmes et des hommes qui soient des sous-salariés, une sous catégorie de citoyens ?

Ce pays qui pleure ses emplois ne fais pas ce qu’il faut ni pour en créer mais surtout pour conserver ceux existants et dans ce cas chaque création compense une disparition, mais ne fais rien progresser, chiffre du chômage à l’appui. Réveil nos politiques et donneurs d'ordres!

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 13:28

 

Voilà une chose que nos parlementaires devraient traiter, une loi supprimant l’existence des ces manipulations qui permettent à quelqu’un ou une entreprise de vous contacter à son grès, mais que l’on ne peut pas identifier ou à laquelle on ne peut pas répondre.



Moi ça me met hors de moi, tout ces mails avec le ‘No reply’’ et ces appels (que je ne prends jamais qui n’affichent pas de N° ou nom.

  

Au nom de quoi on peut importuner des gens sans qu’ils aient la possibilité, soit de répondre, soit de savoir qui les appelles. Je me suis engueuler avec nombre de Stés, SFR, ma banque, ou un vendeur de cuisines, mon Assurance, qui m’appellent en N° caché et râlent que je ne décroche jamais ! Un comble l’impolitesse vient de leurs parts et ils ne sont pas content…Alors croyez bien que dans ce cas je les rhabilles pour plusieurs hivers.

Je sais que ce n’est pas un sujet capital, ni même important en cette période ou tant de choses nous préoccupent, mais il faut savoir que l’on paye quand même quelques centaines de députés et sénateurs et que tous ne sont pas au charbon sur le règlement de la crise, donc quelques-uns pourraient se pencher sur les 1001 petits problèmes de notre quotidien qui séparément ne sont pas si graves, mais cumulés tous ensembles nous tapent bien sur le système, et nous n’en avons pas besoin en cette période.



N'hésitez pas à me faire part de ces petits tracas quotidiens qui vous agaçent aussi...

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 10:52

Encore une fois ce sujet est complètement disproportionné, et encore une fois il provient de la même communauté. Les mêmes qui revendiquent que l’islam est la meilleure religion et la seule, qu’elle est aussi la plus tolérante, tue en son nom pour un film, un dessin…

Je n’étais pas raciste, j’ai vécu à l’étranger, j’ai des amis dans plusieurs pays, de différentes cultures, Mais je dois admettre devenir un raciste, autant utiliser le mot ‘’sélectif’’. Je suis à saturation et je fais un rejet de l’islam.

Certains diront que c’est idiot cet amalgame, il y a des musulmans respectueux et respectable et je suis bien d’accord, il y en a qui se sont parfaitement intégrés et aiment sincèrement la France, je suis encore d’accord et j’ajoute ils sont les bienvenus.

Mais malheureusement une grande partie, est loin d’être aussi discrète et raisonnable, alors ce sujet est pour eux.

Que l’on puisse tuer pour un film, des dessins, un symbole quelconque est profondément stupide, cela ne fais que démontrer, l’intolérance de cette communauté, son incapacité au discernement, sa faiblesse à être manipulé, sa complète incapacité à s’adapter à notre époque et à évoluer, son destin de rester dépendants de mauvais prêcheurs (leurs imams), d’être tenus dans la médiocrité et d’avoir perdu leur libre arbitre. Il y a déjà fort longtemps les bouffons se moquaient des rois, il y a toujours eu des humoristes pour se moquer du pape, Desproges, Coluches, par exemple ne s’en sont jamais privés, Poppeck ,Michel Boujenat, Elie Kakou, ont toujours trouvés à nous faire rire des Juifs, jamel Debouze ou Gad Elmaleh nous amusent des traits caricaturés des Arabes…Et personne n’a jamais essayé de tuer quiconque pour cela, ou d’organiser des manifestations et mise à sac. Les présidents y compris Mr Obama le plus important d’entre eux, se font brocarder tous les jours et n’envoient pas l’armée bombarder les imprudents qui auraient oser s’amuser d’eux.

Seuls et toujours les mêmes islamistes ‘’radicaux’’ ou simplement dépourvus de toute capacité de réflexion, montent toujours au créneau offensés de tout.

Notre gouvernement qui n’a d’ailleurs pas pris l’exacte mesure du ras le bol montant continu de tasser la poudre. Cours d’arabe dans le primaire, cantines hallal, horaires de piscine spécifique aux musulmans, médecins obligatoirement femmes dans les hôpitaux, prières dans les rues, Imans incitants à la charia (sur notre sol) Congés pendant le ramadan, autorisation de prier pendant les heures de travail, exigence de la construction de mosquées avec arrangement pour les terrains et subventions. Tolérance de la polygamie, entretien grâce aux allocations diverses de familles 3 fois plus nombreuses que les familles françaises, ‘’rapprochement familial’’ quasi-illimité, soins gratuits, pour les parents en visite, etc…La liste est longue des couleuvres que nous devons avaler sans même droits de manifester notre désaccord, car nous devons rester politiquement corrects, seule attitude officielle acceptée. Les arrivants ou ‘’non natifs’’ revendiquent à tout bout de champs leur droit à s’exprimer, à être respectés, à l’asile politique (faux dans 90% des cas) à leur liberté d’expression, de culte, de mœurs, mais nous. Nous n’avons plus le droit dans notre pays, ce pays qui est l’héritage de nos parents, grands-parents tous nos ancêtres qui ont fait cette république, ont bâti ce pays, ont vécu 2 guerres, ont construit l’économie et le système social, nous n’avons plus le simple droit d’être raciste. Pardon nous n’avons pas le droit de le faire savoir, nos gouvernants nous demandants expressément de bien le cacher et de nous comporter en parfaits hypocrites, menteurs, et lâches. Plus possible d’affirmer son opinion, ce n’est pas acceptable ! Avouez plutôt que vous êtes gays, que vous rêver de devenir transsexuel, ou zoophile, là c’est déjà bien moins grave on vous aidera, on vous adressera à un thérapeute, il y a des solutions…Mais ne pas aimer une race une culture, des mœurs ça c’est formellement interdit et totalement incompréhensible… C’est vrai comment est-ce possible ? Comment ne pas aimer une culture qui force les mariages arrangés, comment ne pas aimer que l’on marie des fillettes de 11 ans avec des hommes de 60, comment ne pas aimer que l’on coupe la main d’un gamin qui à voler de quoi manger ? Comment ne pas aimer que l’on lapide des femmes ? Comment ne pas aimer que le mariage mixte soit la plupart du temps refusé, ou acceptable du bout des doigts a la condition expresse que le non musulman doivent obligatoirement se convertir lui (ou elle) à l’islam bien sur, pas dans l’autre sens. Comment ne pas aimer une communauté qui considère comme chiens d’infidèles ‘’ ceux qui ne partagent pas sa religion, ‘’la seule valable’’, Comment ne pas être tolérant avec une religion qui pousse certains de ses croyants à jeter des avions contre des tours et tuer aveuglement 2500 personnes ? Comment s’offusquer qu’un endoctriné rentre dans une école et tue des enfants ? Bon j’arrête là vous aurez compris, qu’avoir quelques réserves sur ces détails insignifiants n’est pas bien et que je ne suis qu’un sale mécréant, un raciste, un paria infréquentable de ne plus accepter cela. Et je me permets d’ajouter que je n’affabule pas sur des ‘’on dit’’ ou des bruits qui courent, ce dimanche 16 septembre le magazine 7 à 8 relataient qu’un homme d’origine tunisienne, en vacance chez lui à Bizerte s’est fait lyncher, parce que sa femme portait un débardeur ! Et que sa fille de 14 ans était en short ! ! Pour qui regarde ces émissions comme ‘’66 minutes’’ ou ‘’envoyé spécial’’ ces exemples sont légions, alors que l’on ne me fasse pas de faux procès c’est une réalité.
Quoiqu’il en soit, officiellement je ne dois rien avoir à exprimer sur le sujet ou a redire à ces menues petites spécificités d’une culture si coloré et joyeuse qui nous a apporté le Coucous. Officiellement je me dois d’être bien pensant, je dois faire tous les efforts possibles pour accueillir et intégrer la richesse de culture que m’apporte de plus en plus les immigrés de la péninsule arabe. Il faut que je les comprennent, que je les respectes, qu’ils se sentent chez eux (pour cela il ne m’ont pas attendus).

Alors comme je ne suis pas parfait, bizarrement tout cela m’agace un tout petit peu, et oui honte à moi je pense que je suis un peu raciste, et même si c’est sélectif, (car aucune autre communauté vivant en France ne fait parler d’elle à ce point ), ce n’est pas une excuse ‘sélectif’ ou pas me voilà hors la loi car j’admets une part de racisme et ce n’est pas bien du tout…Non, non, non, ne faites pas comme moi qui suis un faible d’esprit qui succombe à une certaine intolérance. Faites comme nos politiques, excusez, tolérez, restez des biens pensants, moi je suis déjà perdu.

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